en mode fin des programmes

C’est le moment de nous lever pour mieux respirer

C’est le moment de nous lever pour nous démasquer

C’est le moment de nous lever pour nos libertés

C’est le moment de nous lever pour te démasquer…

Courant dans l’air, nostrils bien zouv’airs, babil rénové, Acadie, Jamaïque, accalmie sans tragique, contre la mise en sourdine des « petits restes », ceux d’où sortiront les germes de demain, entre les mondes aux avenues aux trademarks enregistrées, déposées, suivies, empruntées, rendues, vomies, pour le là où temps ni espace ne se comptent plus, là-bas dub, ces petits du reste devenus grands s’avancent entre les âges et les cadences pour remplacer un temps, replacer le temps, tempo beat béat, pas bête, dans le grand arbre des comment se ment le dit temps du moment, et contribuer bien plutôt aux vents de l’esprit dépris dub repris respir jusqu’à rempocher la lourde tâche des recommençants, éternels devant les tas de vrai fumier qui ornent nos jardins, nos vignes, nos champs, d’où découleront nos propres sangs, qu’on se le dise ou qu’on le masque… ah oui le masque… Simulacre apparent du dit temps, barrière devant-derrière, inconnu dub viral, là entre nous, là où tout se passe, où nos choix s’orientent autrement que prévu, free style pour le pire, mais se battre pour que circule le prâna, que s’inspire l’expir du voisin, de l’ancêtre, du Saint, pour que s’imbibent nos multivers internes, ceux  sachant sauter, du faux train, depuis la plateforme arrière, avant que d’avoir trop peur, de prendre l’habit d’hébétude d’habituation au pire… sautants renouvelés par bain immédiat, dans le temps long du longtemps présent.

All right, take it easy boy… tout va bien aller…

(dédicace à la scène maloggae réunionnaise, infinite inspir dubed ina hé !, à l’Araucaria araucana, ainsi qu’aux ferments, virus et bactéries qui nous hébergent)

https://benlaba.bandcamp.com/album/libert-masqu-e